12/03/2017

Quand j’arrête (vraiment) de me trouver nulle...

Me voici lancée, alors je continue ma série de chroniques de bouquins. J’ai de la chance, parce qu'en plus, je parle d’ouvrages dont j’ai rencontré les auteurs, ce qui offre une facette supplémentaire à la lecture. Cette semaine, zoom sur j’arrête de me trouver nul(le) et son auteur, Clotilde Poivilliers.


C’est dans le centre de presse de Roland-Garros que j’ai fait connaissance avec Clotilde il y a quelques années. Comme beaucoup de journalistes qui couvraient le tournoi, je subissais un stress énorme. Et les instants de calme étaient rares... Voire inexistants. L’espace où Clotilde pratiquait -pour ceux et celles qui le souhaitaient- une vingtaine de minutes de shiatsu avec ses mains magiques était une sorte de sanctuaire. Et me permettait chaque jour de me régénérer grâce à cette petite parenthèse de zénitude.



En 2010, j’avais découvert le premier bouquin de Clotilde, l’énergie corps-esprit pour vivre en harmonie et testé grâce à sa méthode, quelques manipulations d’auto shiatsu. Le mois dernier, j’ai ouvert son nouvel ouvrage : J’arrête de me trouver nul(le). Et j’ai décidé de jouer le jeu des trois semaines/21 jours pour changer : semaine 1 observation, semaine 2 déprogrammation, semaine 3 reprogrammation. Et franchement, non seulement je me suis bien amusée, mais la méthode fonctionne, ce qui est l’essentiel.

Bon OK, à la base, je ne me trouve pas/plus si nulle que ça... Enfin j'espère. Mais les expériences proposées boostent carrément l’estime de soi, la joie de vivre et l’enthousiasme pour croquer dans les projets. La méthode de Clotilde ne propose pas un outil central, mais une multitude. Le bouquin est facile à aborder avec sa présentation dynamique, qui comprend des graphiques, exergues et encadrés, mais aussi de petits exercices tous simples en fin de chapitre. L’approche est ludique et centrée sur le mieux-être, même si la déprogrammation oblige à bousculer nos vieilles habitudes et peut s'avérer un challenge.

Vive l’auto shiatsu et les mudras! Les pratiques d’auto shiatsu pour agir sur des méridiens avec un objectif précis, sont la partie du livre que j’ai préférée (2ème semaine). Idem pour les mudras, sorte de yoga des mains, que l’on met dans une position précise en prononçant une phrase correspondante, de préférence en pleine conscience ou en méditation. Pratiquant le yoga depuis 17 ans, ces outils résonnent profondément en moi.

Pratique. Vous pouvez découvrir J'arrête de me trouver nul(le) sur son site compagnon et suivre son actualité sur sa page facebook.

Crédit photo: Atalanta et site de l'ouvrage

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